Ultra dynamique, Lucie Lebas a un agenda qui donne le tournis, et une capacité à se lancer avec toujours le même enthousiasme dans chaque nouveau projet. La jeune femme a choisi depuis longtemps d’être un électron libre, et revendique au travers de ses nombreuses activités la même aspiration à un plus grand minimalisme et à une éthique irréprochable, 2 piliers incontournables pour elle.
L’univers créatif de Séverine, à la fois vitaminé et pétillant est reconnaissable au premier coup d’oeil. L’illustratrice parisienne, qui a fait de la liberté une véritable philosophie de vie , s’est expatriée depuis quelques années, d’abord en Allemagne, puis au sud de la Suède. L’éloignement géographique n’a en rien entamé sa créativité, comme en témoignent ses collabs régulières avec Vans, My Little Day ou encore, dernière actualité en date, l’illustration d’un cahier d’activités parents-enfants pour Bubble Mag (à retrouver cet été dans les magasins Jacadi, Okaidi, Oxybul…).
Bar-da a profité d’un de ses passages à Paris pour lui faire vider son sac, et nous raconter sa vie Suédoise !
Après avoir travaillé 10 ans dans les plus grandes maisons de luxe (Hermès, Chanel, Céline … rien que ça ; ) ), Virginie a eu envie de développer un projet empli de sens à la fois pour elle mais aussi pour la filière du cuir en France. L’idée est venue de faire le lien entre d’un côté les immenses quantités de cuir laissées à l’abandon chez les fabricants des maisons de luxe, et de l’autre, les créateurs, qui ont de grandes difficultés à accéder aux plus belles matières pour leurs créations et leurs micro-capsules. Ainsi est née Adapta, une entreprise de l’économie circulaire, qui répond à 100% aux impératifs tellement actuels du zéro gâchis et de la slow fashion ; le tout en proposant des matières ultra désirables et luxueuses !
Depuis le lancement d’Adapta, tout s’est accéléré, Virginie fait régulièrement le tour de France à la recherche des meilleurs cuirs, elle a eu le temps de gagner le concours IFM- TCBL Awards et passe beaucoup de temps dans les manifestations professionnelles pour faire connaitre son initiative et éduquer la filière à ce nouveau mode de fonctionnement. Juste avant son départ pour les Fashion Green Days de Roubaix et à quelques semaines de sa prochaine vente au showroom ADC ( du 7 au 11 juin prochains à Paris (sur rendez-vous, détails ci-dessous)), Virginie vide son sac depuis la verrière de l’hôtel Bachaumont à Paris ! Continuer la lecture de « Virginie Ducatillon : Adapta »
Entre Delphine la créative et Elise l’ingénieure, l’entente a été immédiate ; un véritable coup de foudre professionnel qui se produit il y a quelques années à Bruxelles dans une grande Maison de maroquinerie de luxe. Une telle alchimie ne s’oublie pas. Il y a 2 ans, Delphine dit tout de suite oui à Elise, quand cette dernière lui propose de se lancer dans une nouvelle aventure, et ce, en dépit des milliers de kilomètres qui les séparent désormais. Delphine s’est en effet installée à Paris, quand Elise est à … Bangkok. Mais la confiance mutuelle et l’excitation de ce nouveau projet l’ont emporté sur la distance et les complexités techniques de la fabrication.
Il faut dire que Maison Pollux, leur entreprise, propose une maroquinerie ultra novatrice : de beaux sacs évolutifs, ludiques et chics, qui s’adaptent aux épaules des parents comme à celles des enfants. Un défi de taille mais remporté haut la main par le duo ultra complémentaire ! Avec une première collection au thème animalier, inspirée des fables de la Fontaine, les sacs et pochettes de Maison Pollux, à la fois élégants et originaux, nous font directement replonger en enfance !
Aurélie Le Cléac’h, fondatrice de Maison Balancines
« Less is more », est une des devises d’Aurélie Le Cléac’h. Cette Bretonne déterminée l’a appliquée à la lettre pour créer en 2017 sa marque de textiles, Maison Balancines, qui revisite le vestiaire marin.
Le résultat ? Des modèles aux couleurs douces, chics mais épurés, féminins sans être trop girlys, ultra désirables !! On a immédiatement envie d’enfiler ces beaux pulls en laine, pour les journées au bureau, comme pour les week-ends au bord de la mer. En phase avec les interrogations sur l’empreinte écologique de la mode, Aurélie a également beaucoup travaillé sur la qualité des vêtements avec ses ateliers locaux. L’objectif est que ses produits soient atemporels et durables pour un impact raisonné de la marque, une volonté chère à la créatrice.
Sophie Vallois Gouard, fondatrice la marque de bijoux 4 Crosses
Le rire de Sophie Vallois Gouard résonne dès qu’elle vous ouvre la porte de son appartement Parisien. Avec beaucoup de gaieté, cette créatrice de bijoux allie une détermination à toute épreuve et une joie de vivre entraînante ! Pourtant, de la détermination, il en fallait pour Sophie qui quitte sa vie Rémoise pour s’installer à Paris il y a quelques années, après une carrière dans la joaillerie et la mode. Elle décide alors de donner un nouveau souffle à la marque de bijoux qu’elle vient de lancer, et qui va décoller : 4 Crosses.
Ses collections sont 100% « Made in Paris ». Sophie puise sans cesse son inspiration dans les rues de la Capitale qu’elle arpente à longueur de journée, entre son atelier, son appartement et son showroom. La créatrice décline à l’envi des modèles tantôt atemporels et épurés, tantôt résolument modernes et forts.
Pour quiconque l’a expérimenté, s’habiller pendant la grossesse n’est pas une mince (sans mauvais jeu de mot) affaire. Nous sommes tiraillées entre le besoin de se sentir à l’aise , l’idée de ne pas investir trop dans une nouvelle garde robe – censée être éphémère-, et l’envie d’évoluer dans de jolis vêtements en phase avec notre style habituel. Bref, compliqué tout ça… Marie est passée par cette expérience, ce qui l’a décidée à créer sa première entreprise, Joli Bump, pour que les femmes enceintes puissent enfin avoir une vraie garde robe sans se ruiner ni se déguiser. Le must : les coupes sont pensées pour pouvoir être portées avant, pendant et après la grossesse. Last but not least, une vraie attention est portée à la qualité des tissus, pour une mode plus durable.
Quand on demande à Carole Tolila quel est son métier, la réponse est un peu…compliquée. En vrai, elle jongle avec une foultitude de casquettes. Journaliste au départ, elle est également animatrice pour Silence ça pousse et chroniqueuse pour Télématin. Par ailleurs passionnée de DIY (Do it Yourself) et de création, elle vient de publier un livre pour « Créer sa déco nature »(éditions E/P/A ). Sinon, Carole imagine aussi des objets et accessoires en s’inspirant de son quotidien. Elle a déjà a son actif plusieurs collaborations avec des marques (des vases, un modèle de robe ou encore évidemment ….un sac ! ).
Pure scientifique passionnée par la beauté, Audrey combine l’exactitude et la justesse de ses mots choisis avec un enthousiasme débordant. Un cocktail détonnant ! Passée par des grandes marques de parfum et de cosmétique (Kenzo, Cacharel), mais aussi des plus pointues (Penhaligon’s) ou encore des soins capillaires (Phyto), Audrey ne se départit pas de sa passion pour le secteur de la beauté quand elle évoque son parcours et ses expériences. Animée par une curiosité insatiable, elle dirige aujourd’hui le pôle beauté de Nelly Rodi, société de conseil en innovation et en création, et travaille avec des sociétés du monde entier.
Aurélia Euverte (@Collection_Lab) et Sophie Kapin (@studioleparadis)
Drôle, enjoué et concerné ; le duo de consultantes formé par Sophie Kapin et Aurélia Euverte, aka Studio Le Paradis et Collection Lab, vous donne immédiatement un shoot de peps et une forte envie de travailler avec elles. Avant de se rencontrer, ces 2 citadines se sont d’abord lancées chacune de leur côté dans l’aventure du conseil de marques de mode. Aujourd’hui leur complémentarité saute aux yeux (a fortiori une fois que l’on a vidé leurs sacs (spoiler alert) ! ).
Catherine Baudet est rédactrice en chef beauté pour le magazine féminin BIBA. Diplômée en histoire de la photographie, elle a toujours été très attirée par l’esthétisme et la photographie. « Au départ, je voulais être photographe, mais je ne suis pas dans la technique, alors j’ai préféré être ‘autour’ de la photo, ce que me permet mon métier dans la Beauté. » Au milieu du tohu-bohu de la vie Parisienne, il émane de Catherine une grande douceur et on perçoit chez elle la volonté de ne surtout pas se laisser emporter par le stress environnant. Le fait qu’elle soit également énergéticienne et qu’elle pratique beaucoup le yoga n’y est sans doute pas étranger !
Avec ses collections de 7 combinaisons ( une pour chaque jour de la semaine), Jessica Troisfontaine a souhaité faciliter notre quotidien en créant des « vêtements qui donnent de la force ». Pour l’ancienne avocate, l’enjeu pour les femmes est bien de (re)prendre le pouvoir sur leur vie, et leurs habits sont à ce titre un véritable outil d’empowerment. A ce titre la combinaison revisitée est l’habit parfait : simple, efficace, raffiné sans être too much, une armure pour affronter votre journée avec légèreté !
Deux superbes lignes et une capsule d’été ont déjà vu le jour, présentant des modèles tous plus désirables les uns que les autres, à l’allure sophistiquée ou plus casual. On a maintenant la solution aux potentiels dilemmes matinaux que l’on peut ressentir face à sa penderie !
Charlotte Pons a toujours écrit mais elle a longtemps laissé de côté des manuscrits inachevés – pas le temps, pas l’énergie, pas la confiance. Jusqu’à ce qu’elle se décide à quitter son poste de journaliste et chef d’édition au magazine Le Point pour « tenter le coup ». « Cela devenait trop urgent, il fallait que je consacre du temps – vraiment, pleinement – à cela. »
Depuis, elle écrit tous les jours et son premier roman « Parmi les miens » est paru en septembre 2017 aux éditions Flammarion. Un livre choc qui se lit d’une traite et vous laisse à bout de souffle (et de nerf) , dans lequel Manon se retrouve suite à un accident tragique, de retour dans la ville de son enfance, pour accompagner sa mère dans un coma irréversible. Elle replonge alors dans son passé familial. Les non-dits, la tension des retrouvailles avec les frères et soeurs (qui manquent toujours de déraper en disputes), le sentiment d’incompréhension, tout dans ce livre est criant de vérité. Le lecteur fait corps avec la narratrice, jusque dans ses plus sombres pensées.. En attendant (avec impatience) le prochain roman, on peut retrouver Charlotte sur scène avec Laura Cahen à la Maison de la Poésie de Paris pour un concert romanesque « Soeur(s) » le 14 novembre prochain.
En parallèle, la quotidien de Charlotte est à l’image de son sac : ultra-rempli. Entre ses interviews, son travail de rédactrice indépendante, la préparation du concert et les ateliers d’écriture Engrenages & Fictions, Charlotte a vidé sa besace sur la table d’un café Parisien juste après la dépose des enfants à l’école… Continuer la lecture de « Charlotte Pons, Engrenages et Fictions »
Depuis son appartement donnant sur les toits de Paris comme lors de ses nombreux voyages, Margaux Derhy replonge sans cesse dans ses souvenirs d’enfance pour mieux les réinventer. Il se dégage de sa peinture figurative, travaillée à partir de photographies et de clichés personnels, une grande douceur mélancolique, celle-là même que vous ressentez lorsque vous regardez, des années après, vos albums de famille. Dans le travail de Margaux, la couleur a aussi une place prépondérante, à la fois éclatante et douce, et à y regarder de plus près, certains détails vous font des clins d’oeil… Séduit par son univers, Bar-Da a pu rencontrer Margaux, à l’occasion de l’exposition réalisée à son retour de sa résidence artistique au Japon, et juste avant son départ pour Londres ! Continuer la lecture de « Margaux Derhy : Artiste Peintre »
Le mot « Galerie d’Art » vous évoque un endroit froid, dans lequel vous ne pouvez pénétrer sans être scruté(e) par un hôte/une hôtesse en tenue austère, et aux murs duquel sont accrochées des oeuvres inabordables dans tous les sens du terme ? Good news, on a enfin trouvé quelqu’un qui sait mettre en scène les oeuvres et les rendre accessibles à tout le monde ! Grande amatrice d’Art depuis l’enfance, Amélie du Chalard a créé Zeuxis (aujourd’hui Amélie with Zeuxis), une nouvelle expérience combinant des galeries-appartements et un site internet. Vous pouvez sélectionner les oeuvres qui vous plaisent sur le site et venir ensuite les découvrir ainsi qu’une centaine d’œuvres d’art en situation dans un appartement parisien aménagé comme un lieu de vie habité. Absolument aucun besoin d’être expert, il suffit de se laisser porter par ses envies et last but not least, le site s’adresse à tous les porte-monnaies (à partir de 200€).
